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Comment tu t'appelles?

Lu sur le blog de La mère blogue, un article repris du Huffington Post qui rapporte que près d'un parent sur 10 regretterait le prénom qu'il a donné à son enfant. En cause? La pression familiale et la mode.
Pour la pression familiale, à vous de voir mais en ce qui concerne la mode, la Régie des Rentes du Québec tient à jour une banque de prénoms. Vous pourrez ainsi savoir combien d'enfants portent le même prénom que le vôtre depuis 2006. Pour en savoir plus cliquez ici

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Tintin en joual…Ça fait jaser!

Depuis sa sortie, le 20 octobre dernier, le premier album de Tintin en québécois, Colocs en stock , (directement adapté du Coke en stock d’Hergé) a fait couler beaucoup d’encre et rarement pour récolter des éloges. Proposé à plusieurs reprises par le sociologue québécois Yves Laberge aux éditions Casterman, le projet a fini par séduire et le « traducteur » a eu carte blanche pour remplir les bulles du célèbre reporter belge. Malheureusement l’accueil populaire a été plus que froid de ce côté-ci de l’Atlantique. « Ridicule », « grotesque », « farce monumentale », les 62 pages ont déclenché l’ire des tintinophiles et des (nombreux) défenseurs de la langue française, donnant lieu à de multiples diatribes souvent dignes du Capitaine Haddock. Que reproche-t-on à Yves Laberge? «  Une traduction infidèle  », «  un abus de vocabulaire passéiste  », «  une sur-joualisation  » des dialogues… La liste est longue. Mais le reproche que l’on retrouve le plus souvent dans la bouche ou sous la plu

«Jusqu'à mardi dernier, l'homosexualité faisait partie des troubles mentaux de la sexualité en Alberta»

Non vous ne rêvez pas...Lisez plutôt : « Le ministre albertain de la Santé, Gene Zwozdesky, vient d'ordonner que l'homosexualité soit retirée du guide de diagnostic sur les troubles mentaux, plus de 35 ans après que l'Association américaine de psychiatrie ait cessé de considérer l'homosexualité comme une maladie mentale. Le gouvernement a décidé d'apporter des changements au guide médical qui est utilisé par les médecins pour encadrer les soins offerts aux patients après avoir été informé de la situation par un journaliste. Ce retrait entre immédiatement en vigueur. Jusqu'à mardi dernier, l'homosexualité faisait partie des troubles mentaux de la sexualité en Alberta, au même titre que la pédophilie et la bestialité . Les représentants du gouvernement albertain ne peuvent expliquer pourquoi des changements n'ont pas été apportés plus tôt au document. L'Association américaine de psychiatrie a cessé de considérer l'homosexualité comme une maladie

Tête de croisé

Il présente bien Michel Lizotte. Costume bleu, cravate assortie, chiffres et statistiques choisis, il se présente comme un « journaliste, auteur ». Mais quand il commence à parler de son expérience « d’animateur d’une session de formation adressée à des parents » , ça se gâte. Rien qu’à l’intitulé de cette « formation » , il y a de quoi sauter de sa chaise (ou vomir son petit-déjeuner, déjeuner, et dîner de la veille) : « Aider mon enfant à développer son potentiel hétérosexuel » . Développer son potentiel hétérosexuel. Pour donner du poids à sa « thèse » , Michel Lizotte explique qu’il a un Bac en journalisme, qu’il a obtenu ses diplômes au Québec, et qu’il est donc un vrai journaliste, « garde-fou » dans une société qui refuse de parler « de la réalité des ex-gais » . Car d’après Lizotte, « l’orientation sexuelle peut être changée avec un taux de succès assez significatif chez les personnes motivées » . Et de comparer ce taux de réussite avec l’arrêt du tabac ou l’arrêt de l’alcoo